Le facteur sexuel dans la névrose
Dans les traumatismes de la névrose, la prépondérance du facteur sexuel est frappante et demande une explication théorique. Ces trois points, apparition précoce, oubli, contenu sexuel agressif sont étroitement liés. Les traumatismes sont soient des expériences touchant le corps même du sujet, soit des perceptions sensorielle affectant le plus souvent la vue et l’ouïe.
La vie sexuelle des humains connaît un premier développement qui se termine vers la cinquième année, suivie d’une période dite de la latence jusqu’à la puberté avec aucun développement sexuel, ou l’acquis subit même une régression. Cela est vérifié par l’examen anatomique de la croissance des parties génitales internes.
L’humain est la seule espèce animale qui connaisse une telle latence avec ajournement de la vie sexuelle.
Ce sujet est développé lors de la formation certifiante en psychanalyse, élaborée par Hervé Madet, Directeur de la E-Faculté de Psychologie et Psychanalyse (EFPP), que vous pourrez suivre en distanciel ou en présentiel sur Aix-en-Provence.
