La crainte de castration se serait transmise à travers les générations. Un jour, les frères s’unirent, tuèrent le père, puis devant l’inhumanité de leur crime, éprouvèrent de la culpabilité et instaurèrent la morale et la religion.
Au niveau individuel, l’angoisse de castration amène du complexe d’Œdipe, la formation du Surmoi et l’entrée dans la période de latence. Au moment de la puberté, les pulsions sexuelles sont à nouveau mobilisées et non acceptées par le Moi. Ces pulsions sont attirées par leurs prototypes infantiles et les suivent dans la voie du refoulement.
La formation certifiante de psychopraticien réalisée en 2 ans à la E-Faculté de Psychologie et Psychanalyse (EFPP), vous présentera le facteur phylogénique dans la névrose.