Névrose et religion

Dans les temps primitifs, l'homme primitif vivait en petites hordes, dont chacune était placée sous la domination d'un mâle puissant.

 

Cet être humain n'était pas encore très avancé par son développement linguistique. Le mâle puissant était le maître et le père de toute la horde. Il n'était pas limité dans son pouvoir, dont il faisait usage avec brutalité. Tous les êtres féminins étaient sa propriété : les femmes, leurs filles et celles enlevées à d'autres hordes.

 

Le destin des fils était pur, quand ils éveillaient la jalousie du père, ils étaient bannis, contraints de se procurer des femmes par rapt, et pouvant alors parvenir à se créer une position analogue à celle du père. Il existait une situation privilégiée en faveur des plus jeunes fils, qui protégés par l'amour des mères, pouvaient remplacer le père après sa mort.

 

La formation certifiante de psychopraticien réalisée en 2 ans à la E-Faculté de Psychologie et Psychanalyse (EFPP), aborde ainsi les phénomènes religieux dont les processus à contenu sexuel-agressifs ont laissé des conséquences durables.