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L’intérêt de l’arbre généalogique en psychanalyse
L’intérêt de l’arbre généalogique en psychanalyse
« Marcher vers son identité,
c’est prendre conscience de ses racines pour être bien dans ses branches… »
c’est prendre conscience de ses racines pour être bien dans ses branches… »
C’est en Mésopotamie fin du IIème et début IIIème siècle avant Jésus-Christ dans la tribu arabe des Safaîtes que sont apparus les premiers arbres généalogiques. Ce peuple qui vivait principalement d’élevage gravait sur des pierres, le nom des membres de leur famille sur quatre à six générations.
Ce n’est que plus tard que les Romains de l’antiquité, les Grecs, et certains français du Moyen-Âge s’intéressèrent à cette discipline.
Ce n’est que plus tard que les Romains de l’antiquité, les Grecs, et certains français du Moyen-Âge s’intéressèrent à cette discipline.
Ce furent surtout les nobles et les aristocrates qui dressèrent leurs arbres pour prouver leur noblesse. A partir de la révolution de 1789 cette technique tomba un peu dans l’oubli, et reprit son essor en même temps que le développement des sciences humaines, les découvertes génétiques et biologiques sur l’hérédité.
Ce sujet est développé lors de la formation certifiante en psychanalyse, élaborée par Hervé Madet, Directeur de la E-Faculté de Psychologie et Psychanalyse (EFPP), que vous pourrez suivre en distanciel ou en présentiel sur Aix-en-Provence.
